Notre équipe
Andrew Ng
(Il/Lui)
Andrew a grandi dans la banlieue de Pickering à Toronto. Il est diplômé de l'école de journalisme de l'Université de Carleton et a une dizaine d'années d'expérience dans les salles de rédaction. Il a commencé comme écrivain, éditeur et journaliste vidéo à Edmonton, où il a interviewé des politicien.ne.s, des musicien.ne.s, des athlètes et beaucoup de gens ordinaires faisant des choses extraordinaires. Il s'est ensuite installé à Calgary pour poursuivre sa carrière de producteur de télévision et de radio. Ses principaux centres d’intérêt en matière d’actualité sont l’élimination des stéréotypes en politique et la rencontre de jeunes gens exceptionnels qui s’opposent aux stéréotypes de leur âge. Après toutes ces expériences, passer au programme VOTE de L’apathie c’est plate était tout naturel.
« L’apathie c’est plate, le travail que fait l’équipe, c’est bien plus qu’augmenter la participation électorale : c’est bâtir un pays rempli de citoyens intelligents et empathiques qui ont leurs communautés à cœur et qui cherchent toujours à améliorer la qualité de vie de tout le monde. Je suis fier d’en faire partie. »
Christale Terris
(Elle)
Christale est originaire de Sudbury en Ontario, où elle a grandi sur le territoire traditionnel du peuple Anishinabewake. Elle est une colonisatrice, métisse, homosexuelle, qui aspire à devenir une artiste et qui aime l'organisation communautaire. Elle a commencé à faire du bénévolat à un jeune âge et a rapidement appris la valeur du travail communautaire pour construire un monde plus juste, et comment les récits du statu quo dévaluent ce travail.
Pour l'aider à contribuer aux mouvements de libération collective, Christale a obtenu un diplôme en politique publique et développement communautaire à l'Université Concordia. Pendant cette période, elle s'est profondément impliquée dans l'organisation des étudiant.e.s, en particulier dans le mouvement alimentaire, et a acquis des compétences inestimables qui l'ont aidée à devenir ce qu'elle est aujourd'hui. Elle est une organisatrice d'événements, une facilitatrice et une cuisinière communautaire expérimentée, qui aime travailler avec les autres et les voir briller.
À la vitesse d'un escargot, elle poursuit actuellement une double spécialisation en art et design intermédia. Quand elle n'a rien à faire, elle aime lire des romans dystopiques, faire du patin à roulettes, sauter dans de grandes étendues d'eau et gâter les gens qu'elle aime.
« La version enfant de moi-même serait renversée de savoir que j'aurais un jour la chance de travailler dans une organisation qui non seulement paie un salaire décent, mais partage certaines de mes valeurs pour un monde plus juste et équitable. »
Daniel Twijuke
(Il/Lui)
Grâce à son baccalauréat en droit transnational et en droits de la personne à l’Université Carleton et à sa maîtrise en politique publique et en administration publique à l’Université Concordia, Daniel a compris la valeur de la gouvernance non étatique et de la défense des droits de la personne dans la promotion des droits de la personne à l’échelle mondiale. La plupart de ses travaux ont porté sur la compréhension du rôle complexe que jouent les ONG aux côtés des États pour faire respecter les normes en matière de droits de la personne, notamment dans le cadre de la politique relative aux réfugiés, à l’immigration et à la prévention des conflits.
En tant que collecteur de fonds par téléphone pour Concordia, il a compris le rôle essentiel que joue la collecte de fonds en donnant aux ONG la capacité de mettre en œuvre leur programmation, ce qui l’a amené à s’intéresser au travail de collecte de fonds et de gestion de projets.
« Travailler chez L’apathie c’est plate est une occasion géniale, car je peux réfléchir au rôle énorme que le secteur à but non lucratif joue dans la légitimation de la démocratie canadienne. C’est vraiment un honneur de contribuer à ce processus par mon rôle de coordonnateur du développement de fonds. »
Darnell Jones
(Il)
Alors qu’il étudiait le Community Recreation and Leadership Training (CRLT) au Collège Dawson, Darnell a commencé à travailler dans des centres communautaires à Montréal. Au fil des ans, Darnell a travaillé au Westhaven Community Center, au Loyola Community Center et au Tyndale St-Georges Community Center. En plus de son travail dans la communauté, il a également enseigné aux niveaux primaire, collégial et universitaire. Il est également diplômé du programme d’éducation physique et de santé de l’Université McGill.
Au cours des 14 dernières années sur le terrain, Darnell a travaillé avec diligence à l’établissement et au maintien de relations interpersonnelles positives avec les jeunes, les familles, les collègues et les partenaires communautaires. Après 10 ans d’expérience au centre communautaire Tyndale St-Georges en tant qu’ancien directeur du département des enfants, des jeunes et des familles, Darnell est enthousiaste à l’idée de relever un nouveau défi!
« Je suis très enthousiaste à l’idée de commencer mon parcours chez L’apathie c’est plate, car cette occasion me permet de continuer à apprendre et à me développer tant sur le plan personnel que professionnel. Bien qu’il s’agisse d’une mission et d’une clientèle légèrement nouvelles, mon objectif reste le même : aider les autres en leur offrant des expériences enrichissantes. »
Dena Anwar
(Elle)
Dena est une adepte des grandes marques et a tendance à s’évanouir littéralement lorsque ces marques sont liées à des histoires passionnées et émouvantes. Après avoir étudié la gestion internationale, le marketing et l’anthropologie à l’université, elle a trouvé un point de convergence idéal pour ramener l’esthétique visuelle, les histoires convaincantes et les stratégies commerciales à une connexion humaine.
Après avoir travaillé comme responsable des médias sociaux pour plusieurs restaurants, elle a ouvert sa propre agence de médias sociaux et de création de contenu où elle a travaillé avec un grand nombre d’entreprises, aimant toujours la connexion personnelle. Désireuse d’élargir son champ d’action et d’exploiter davantage le pouvoir des médias sociaux pour le changement et la construction de la communauté, L’apathie c’est plate était la parfaite étape suivante de son histoire.
« Joindre l’équipe de L’apathie c’est plate est pour moi une occasion passionnante d’utiliser mes compétences de conteur et d“enjoliver les choses” avec une organisation qui a une portée grandement nécessaire sur notre culture en tant que jeunes Canadien.ne.s! »
Erika De Torres
(Elle/Iel)
Erika a immigré des Philippines au Canada à l’âge de six ans et est devenu.e citoyen.ne canadien.ne à l’âge de dix ans. Depuis lors, Erika a développé un grand intérêt pour la démocratie canadienne et y participe autant que possible. Iel a obtenu une maîtrise en sciences politiques à l’Université McGill et un baccalauréat en sciences politiques à l’Université Simon Fraser. Son mémoire de maîtrise examinait si le lieu de résidence influe ou non sur les préférences politiques d’une personne au Canada. Iel a travaillé dans l’enseignement supérieur en tant qu’assistant.e d’enseignement et de recherche, et a soutenu divers départements universitaires.
Erika a travaillé auparavant avec un certain nombre d’organisations à but non lucratif à Vancouver et à North Vancouver. Iel a animé des ateliers sur l’antidiscrimination et l’anti-oppression, obtenu des subventions et des fonds, organisé des conférences, des festivals, des concerts, des ateliers, collaboré avec des organisations partenaires et travaillé directement avec les jeunes pour les soutenir.
« L’apathie c’est plate mène l’autonomisation des jeunes en utilisant le modèle de l’innovation démocratique menée par les jeunes à travers ses programmes engageants. Je ressens beaucoup de fierté à faire partie d’une organisation qui joint l’acte à la parole, c’est-à-dire travailler pour les jeunes, avec les jeunes, et par les jeunes! »
Excel Garay
(Iel/Elle)
Excel Garay est de la communauté de colonisateur.ice.s diasporiques philippin.e.s-canadien.ne.s qui occupe le territoire mi'kma'ki à Kjipuktuk (Nouvelle-Écosse, Halifax). Iel est artiste/commissaire et travaille dans le milieu de la culture et de l’éducation. Excel termine son double diplôme à l’Université Nova Scotia College of Art and Design, avec une spécialisation en histoire de l’art et en peinture. Iel a fondé et co-organisé le BIPOC Collective à l’Université Nova Scotia College of Art and Design. Iel a également donné des conférences à la NSCAD et a été panéliste pour l’enquête nationale sur le racisme anti-asiatique organisée par l’Université de Colombie-Britannique en 2021.
Excel s’intéresse à des sujets tels que les intimités diasporiques, le collectivisme, la théorie esthétique et les méthodologies qui incarnent des éléments culturels anti/post/décoloniaux.
« Il me fait grand plaisir de faire partie de L’apathie c’est plate. Cet espace me permet de déployer efficacement des ressources éducatives de manière accessible aux jeunes qui souhaitent assumer des rôles de leadership dans leurs communautés respectives. Le monde universitaire et l’art ont tendance à rester dans le domaine de l’abstraction, mais je suis capable de manifester mes intérêts dans le domaine matériel. »
Heather Nagy
(Elle)
Née au Scarborough, Heather a emménagé à Montréal à 19 ans. Elle a terminé son baccalauréat en sociologie à l’Université Concordia où elle a été très impliquée dans les organismes communautaires sur son campus. À travers son engagement dans ces organismes, elle a pu observer les enjeux sociaux qu’elle étudiait dans ces cours en vrai, ce qui lui a poussé à s’engager davantage que ce soit en tant que bénévole, membre d’un C.A., ou bien une employée. Avec le temps, Heather a acquis plusieurs années d’expérience travaillant au sein d’une multitude d’OBNL et charités canadiens. Elle est ravie d’employer ses connaissances administratives et organisationnelles à son rôle de chargée de finances et opérations.
“L’apathie c’est plate rejoint un soutien social unique à la démocratie canadienne par le biai de l’engagement des jeunes. Alors que les jeunes assument des rôles décisionnels, je m’engage à analyser, discuter et aider à démystifier les procédures organisationnelles de sorte à pouvoir rester sur le bon chemin et atteindre nos objectifs de citoyen.ne.s actif.ve.s.”
Irmak Taner
(Elle)
Originaire d’Istanbul, en Turquie, où elle a grandi, Irmak vit à Montréal depuis 10 ans. Sa curiosité pour les gens, individuellement et collectivement, l’a amenée à obtenir un diplôme en psychologie et en études du développement international à McGill, puis un diplôme d’études supérieures en anthropologie à Concordia. Elle croit au pouvoir de l’organisation communautaire et, en tant qu’artiste en herbe, elle est toujours à la recherche de moyens pour mettre les arts en action.
Elle a travaillé dans divers contextes universitaires et à but non lucratif en organisant des ateliers et des événements, en rassemblant les gens et en facilitant les connexions. Dans ses temps libres, elle aime expérimenter avec des objets d’artisanat recyclés et s’allonger dans les parcs.
« Lorsque je me suis impliquée pour la première fois avec L’apathie c’est plate en tant que bénévole il y a quelques années, j’ai été tellement impressionnée! L’énergie positive, l’esprit de responsabilisation et la capacité de changement que L’apathie c’est plate apporte aux jeunes sont contagieux et je suis ravie de faire partie de cette famille ».
Jackie Ndlovu
(Elle)
Jackie est née au Zimbabwe où elle a passé son enfance, pour ensuite émigrer à Montréal avec sa famille quand elle était adolescente. Après avoir été confrontée à l’adversité d’un déménagement dans un nouveau pays, Jackie s’est passionnée pour le développement des jeunes, l’intégration sociale et le changement communautaire. Elle a ensuite étudié la comptabilité commerciale au St. Lawrence College à la recherche d’une carrière plus pratique.
Chez L’apathie c’est plate, Jackie a trouvé un équilibre parfait entre une carrière pratique et le travail pour une organisation qui se consacre à connecter, sensibiliser et activer la jeunesse canadienne.
« J’adore travailler chez L’apathie c’est plate parce que j’ai le meilleur des deux mondes! Je peux utiliser mes aptitudes en comptabilité pour faciliter la concrétisation de la mission de l’organisme. »
Jacqueline Sultan
(Elle)
Jacqueline est une véritable passionnée de communication. Fascinée par la mise en récit et les interactions humaines depuis son plus jeune âge, elle a étudié la sociologie et les communications à l’Université de Montréal et les relations publiques à l’Université du Québec à Montréal. Après avoir passé de nombreuses années à des postes de direction dans des entreprises, Jacqueline a décidé d’orienter sa carrière vers le travail communautaire et sans but lucratif et n’a jamais regardé en arrière!
En 2021, elle a concrétisé un rêve de longue date, à savoir aider les entrepreneur.e.s noir.e.s, autochtones et de couleur à créer leur propre entreprise, en ouvrant son agence de communication Ad Meliora Communications.
« Travailler avec un groupe de personnes engagées pour une organisation qui parle et agit en conséquence est le plus pur sentiment d’accomplissement professionnel. »
Jennifer Block
(Elle)
Jennifer est née et a grandi à Winnipeg, sur le territoire du Traité no 1, terre ancestrale des Nations anishinaabe, dénée, crie, oji-crie, dakota et métisse. Ambassadrice de la septième cohorte du programme AGIR, elle est par la suite revenue en tant que mentore de la prochaine cohorte.
Jennifer est titulaire d’un baccalauréat ès arts en science politique et études autochtones de l’Université de Winnipeg. Lors de ses études, elle a voulu en savoir plus sur la façon dont les inégalités entre les sexes se sont encodées dans les institutions politiques et normalisées au sein de l’opinion publique. Dans le cadre de ses recherches, elle a eu l’honneur d’être guidée par des leaders et des savants anishinaabe ayant établi que les inégalités entre les sexes étaient un outil colonial utilisé pour remplacer et désorganiser les systèmes de gouvernance autochtones. Ces savants ont orienté les recherches de Jennifer vers l’étude du colonialisme et ses répercussions passées et présentes sur l’identité et l’expression de genre à l’échelle du « soi-disant » Canada. Depuis l’obtention de son diplôme, les ambitions professionnelles, personnelles et académiques de Jennifer continuent de se concentrer sur la remise en question des normes coloniales et de son propre privilège sur le territoire du Traité no 1.
Jennifer passe énormément de temps à l’extérieur. Lorsqu’elle n’est pas à la maison avec ses deux chats, elle est à la plage, sur un terrain de tennis ou au beau milieu de nulle part.
Jennifer Nowoselski
Jennifer vit à K'jipuktuk (Halifax), où elle passe son temps à soutenir l’organisation de la communauté. Jennifer a passé des années à s’occuper de la logistique et des finances dans diverses organisations caritatives et à but non lucratif dirigées par des jeunes. Elle est heureuse d’utiliser sa passion pour les chiffres et la logistique pour soutenir l’incroyable travail de l’équipe L’apathie c’est plate.
« J’ai tellement de respect pour toutes les personnes de notre équipe et le travail qu’elles accomplissent. Je suis heureuse de travailler sur la logistique et les finances afin que je puisse fournir à mon équipe les informations qu’ils et elles ont besoin pour concentrer leur énergie sur le précieux soutien de la communauté qu’ils et elles aident. »
Kell Gerlings
(Iel)
Originaire d’une petite ville d’Ontario, Kell a fait ses premiers pas dans l’action en déménageant à l’autre bout du pays pour fréquenter l’Université de la Colombie-Britannique à Vancouver, sur les terres des Musqueam, Squamish et Tsleil-Waututh. Ses études se sont concentrées sur ce qui ne va pas dans le monde et comment l’améliorer, résultant en un diplôme en sciences politiques et en genre, race, sexualité et justice sociale. Tout cela a mené Kell dans de nombreux endroits, à la fois à travers le monde et dans son propre cheminement personnel. Au printemps 2016, Kell a commencé à trouver sa place en organisation de locataires et militantisme anti-pauvreté, tout en animant des ateliers 2SLGBTQ+ et en faisant de nombreuses promenades en forêt.
Sous l’encadrement d’incroyables organisateur.rice.s communautaires dans le Downtown Eastside de Vancouver, Kell a travaillé dans des espaces populaires pendant quelques vies (quelques années), réalisant sa passion pour rassembler les gens afin d’élaborer un plan et d’agir sur les enjeux communautaires. Avec sa douce moitié et leur chien, ils ont récemment déménagé à Toronto pour accroître leur capacité à avoir des conversations difficiles et à inspirer les gens à agir, grâce à une maîtrise en éducation des adultes et en développement communautaire.
« Me joindre à l’équipe de L’apathie c’est plate m’a donné la chance d’apporter toutes les leçons, les compétences et les apprentissages que j’ai faits à une table remplie de jeunes gens incroyables. Je suis très enthousiaste à l’idée d’appuyer un organisme qui travaille à donner à tou.te.s les jeunes les moyens de s’engager dans une démarche de changement. »
Kyle Visvanathan
(Il)
Enfant hyper curieux, Kyle a toujours été perplexe face à la question « comment sommes-nous censés vivre, en tant qu'individus et en tant que collectivité? » Naturellement, cela l'a conduit à obtenir un diplôme de philosophie à l'Université de Toronto, avec cette idée maîtresse : nous devrions structurer nos vies individuelles autour de la construction d'espaces de vie justes, équitables et justes pour nous tous et toutes.
La première étape pour Kyle dans l'application de cette nouvelle compréhension a été de se connecter avec les personnes qui sont en première ligne pour construire ce type de société : les jeunes! Pendant les élections fédérales de 2019, il a eu des centaines de conversations avec des étudiant.e.s sur les problèmes auxquels ils et elles sont confronté.e.s dans leur vie et sur la façon dont ils et elles ont le pouvoir de les changer en s'engageant dans leur démocratie.
« Les jeunes sont au centre du changement social. Nous sommes des innovateur.rice.s de pointe et des rêveur.euse.s visionnaires. Nous sommes des contributeur.rice.s acharné.e.s et des défenseur.euse.s inconditionnel.le.s. Étant donné l'effet positif de L'apathie c'est plate sur les communautés à travers le Canada, travailler ici est exactement la façon dont j'imaginais répondre à cette question sur la façon de vivre. »
Melina Duckett
(Elle)
Moitié vénézuélienne, Melina est née en Australie, mais a grandi à Toronto. Elle détient un baccalauréat en communications de l’Université Concordia où elle s’est concentrée sur la production cinématographique et la théorie féministe. Après avoir obtenu son diplôme, Melina a occupé divers postes dans le domaine des communications dans des entreprises de production cinématographique, d’analyse de données et de logiciels avant de devenir analyste des médias et associée de recherche pour Greenpeace. Lorsqu’elle n’examine pas les données, Melina anime des groupes de soutien, fait du bénévolat pour le Centre sur les agressions sexuelles de McGill, ou cherche de la musique pour son émission de radio mensuelle en ligne.
« J’aime que L’apathie c’est plate s’engage vraiment et honnêtement dans leur mission d’être à 100 % dirigés par des jeunes. Je suis très reconnaissante de pouvoir travailler aux côtés d’une équipe passionnée et dévouée qui est farouchement fidèle à la création d’espaces permettant aux jeunes de devenir des agent.e.s de changement au sein de leur communauté et à l’extérieur de celle-ci ».
Rea-Anna Walters
Rea-Anna est une Canadienne d’origine jamaïcaine qui a grandi dans le centre de l’Alberta. Son expérience vécue l’a incitée à poursuivre l’étude des raisons pour lesquelles les gens font ce qu’ils font et elle a obtenu son baccalauréat en sciences comportementales en 2017. Elle a ensuite travaillé avec des jeunes marginalisé.e.s dans le système des foyers d’accueil, où elle a découvert sa passion pour le développement des jeunes, l’organisation communautaire et l’engagement civique. Elle s’est ensuite jointe à AGIR en tant qu’ambassadrice et a consacré cette passion à la création d’un projet communautaire, ce qui l’a incitée à poursuivre avec L’apathie c’est plate en tant que mentore et maintenant coordonnatrice.
Pendant son temps libre, Rea aime diriger des projets créatifs et partager les histoires des gens de sa communauté. Elle est heureuse de trouver une organisation dont les valeurs et les aspirations en matière d’engagement communautaire sont en phase avec les siennes et elle est ravie de participer à un parcours qui mène à une société plus active, engagée et éduquée.
Rebecca Simiyu
(Elle)
Rebecca est née au Kenya, a grandi en Suisse et à Winnipeg, et s’est installée dans la région de Vancouver en 2021 après avoir obtenu son diplôme de l’Université du Manitoba, où elle a étudié la politique et les études sur les femmes et le genre.
Elle a déjà travaillé avec L’apathie c’est plate en tant que mentore pour le programme AGIR à Winnipeg, ainsi que dans le domaine de la photographie, qui est l’un de ses nombreux passe-temps. Ses autres passe-temps comprennent la guitare, la course à pied, la musique et la décoration intérieure.
« J’ai toujours admiré ce que fait L’apathie c’est plate et je me sens extrêmement privilégiée d’être ici. Assumer un rôle de direction est nouveau pour moi, mais c’est un défi que je suis plus que prête à relever. Ce poste est un moyen parfait de mettre à profit mes compétences et ce que j’ai appris dans la vie et à l’école, tout en ayant la possibilité d’exprimer ma créativité. »
Rudia Nam
(Elle)
Rudia a grandi à Mississauga, en Ontario, et a depuis vécu en Alberta et en Colombie-Britannique. Elle réside actuellement à Tkaronto. C’est en étudiant les relations internationales à l’Université de la Colombie-Britannique que Rudia a découvert sa passion pour le développement communautaire équitable et durable basé sur les actifs. Elle est une conteuse créative et une bâtisseuse de communauté avec une expérience dans la recherche communautaire, l’engagement communautaire et les communications numériques.
Lorsqu’elle ne s’intéresse pas à l’urbanisme et au design, elle rêve d’un monde où les systèmes d’oppression sont remplacés par des pratiques de soins communautaires radicaux. Rudia a un faible pour les aliments culturels et cherche à combler le fossé entre les générations au sein de la diaspora asiatique. Pendant son temps libre, vous pouvez trouver Rudia en train de magasiner dans une friperie locale, de faire du kombucha ou d’accueillir ses ami.e.s pour un souper chaleureux.
« J’ai appris l’existence de L’apathie c’est plate lorsque j’ai assisté à leur Point de partage à l’été 2020. J’ai été très inspirée par L’apathie c’est plate et son désir d’engager les jeunes dans une conversation sur la communauté et la démocratie. Je suis très enthousiaste à l’idée de faire partie d’une équipe où nous partageons tous et toutes la même vision de voir les jeunes devenir des citoyen.ne.s plus engagé.e.s et actif.ve.s dans la démocratie canadienne! »
Sam Page
(Elle)
Sam est une organisatrice et une militante communautaire qui se passionne pour l’amplification des voix des communautés marginalisées et privées de leurs droits. Née à Ottawa où elle a grandi (sur le territoire traditionnel et non cédé de la nation algonquine), elle a travaillé au démantèlement et à la réforme de structures de pouvoir injustes depuis ses années de formation. Sam a poursuivi des possibilités d’apprentissage des connaissances traditionnelles dans le cadre de l’éducation autochtone et a également étudié la protection de l’enfance et de la jeunesse au Collège Algonquin.
Elle a commencé sa carrière professionnelle en travaillant dans le domaine de l’éducation en plein air, en se concentrant sur l’adaptation de l’accessibilité. Dans ses fonctions précédentes, elle a travaillé avec des communautés mal desservies à INCA Lake Joe et au Wabano Indigenous Centre for Excellence. Récemment, Sam a également passé un an dans la communauté inuite d’Ivujivik, où elle a travaillé avec les jeunes en tant qu’éducatrice et spécialiste du développement. Elle a également donné de son temps dans le cadre de projets au service de la communauté 2SLGBTQ+ au Canada et à l’étranger. Dans tous ces rôles, Sam a travaillé à l’ouverture et à l’inclusion, et à mettre l’accent sur les voix sous-estimées dans les postes de direction.
« Mes passions pour l’engagement civique, l’activisme des jeunes et les structures d’autonomisation intra/intercommunautaires sont autant de raisons pour lesquelles je suis fière de travailler avec L’apathie c’est plate pour mettre en place le programme AGIR dans ma ville natale. »
Sam Reusch
(Elle)
Sam est la directrice générale de L’apathie c’est plate. Depuis 2017, elle fait partie de l’équipe de direction de L’apathie c’est plate, contribuant au développement stratégique des programmes, du contenu et des activités par son travail à la tête de la division Portée et développement avant de passer au poste directrice générale en août 2020.
Défenseuse passionnée de la démocratie et de l’engagement civique, Sam est une commentatrice et une éducatrice respectée qui croit que l’énergie, la perspicacité et l’esprit d’innovation des jeunes sont essentiels pour construire une société plus forte et plus équitable pour tous et toutes. Sam a travaillé avec d’innombrables partenaires à travers le Canada pour soutenir le développement de pratiques d’engagement positives et pour donner un aperçu des nouvelles compréhensions que les jeunes apportent au changement, à l’inclusion et à la construction du mouvement. Elle est la co-auteure d’Ensemble, nous pouvons agir, un rapport qui plaide pour l’adoption de l’innovation démocratique menée par les jeunes comme modèle pour élargir notre conception actuelle de l’engagement démocratique vers une compréhension plus holistique de la façon dont le changement se produit.
Sam est une fière Montréalaise et une ancienne de l’Université Concordia, où elle a étudié l’anthropologie, se spécialisant dans l’intersection de l’identité, de la politique et de la communauté. On peut souvent la trouver en train de se tenir au courant de l’actualité tout en rêvant à sa prochaine aventure culinaire et en attendant un temps plus chaud. Vous pouvez la joindre à @samreusch sur Twitter et Instagram ou par courriel à [email protected]
« Je vois la vraie démocratie comme une conversation permanente, une discussion sur le type de pays, de province ou de communauté dans lequel nous voulons vivre. Ce que j’aime dans L’apathie c’est plate, c’est que nous nous efforçons de faire en sorte que les jeunes sentent qu’ils peuvent avoir une voix dans cette conversation et que nos solutions collectives puissent jeter des ponts pour tous les Canadien.ne.s ».
Sarah El Hassani
(Elle)
Sarah est née à Amsterdam et a déménagé au Canada à l’âge de 16 ans. Elle est titulaire d’un baccalauréat en sociologie avec une mineure en droit et société de l’Université Concordia. En janvier prochain, elle commencera à suivre des cours de gestion de projet.
Sarah est passionnée par l’aide aux autres, ayant fait du bénévolat dans des organismes qui aident les enfants ayant des difficultés d’apprentissage et encouragent les gens à se faire vacciner contre la grippe. Elle a également travaillé comme conseillère d’accueil, ouvrant de nouveaux dossiers et aidant les personnes en crise.
« Lorsque j’ai appris que j’avais la chance de me joindre à L’apathie c’est plate, une petite étincelle s’est allumée en moi. Enfin, je peux faire partie d’une équipe formidable et l’aider à remplir sa mission – qui est aussi devenue la mienne. L’apathie c’est plate est plein de belles surprises, et chaque jour, elle m’épate encore plus! »
Stephanie Yee
(Elle)
Stephanie est une artiste et une travailleuse communautaire vivant à Kjipuktuk (Halifax), la terre ancestrale non cédée et non abandonnée du peuple Mi'kmaq. Depuis qu’elle s’est installée à Kjipuktuk en 2008, elle a trouvé un sens à sa vie en s’engageant dans un réseau de communautés consacrées à la réflexion, à l’apprentissage ainsi qu’à la création et au maintien de relations. Elle est titulaire d’un baccalauréat en beaux-arts de l’Université NSCAD, où elle s’est concentrée sur la communication non verbale. Sa carrière artistique lui a permis de voyager à travers l’Amérique du Nord pour créer un espace de dialogue sur les intersections entre le genre et la race. Le but de son travail, qu’il soit artistique ou non, est de présenter des points d’entrée accessibles à des concepts et des perspectives moins connus.
Elle a une affinité pour le disco, la danse et la nourriture faite avec du beurre.
Tayana Simpson
(Elle)
Tayana est une étudiante diplômée de McGill en sciences politiques et en études de genre, dont les recherches portent sur les conceptions de la féminité et de la masculinité dans les cas de violence centrée sur l’État. Originaire de la Colombie-Britannique, Tayana a obtenu un baccalauréat en sciences politiques et en études de genre à l’Université de Colombie-Britannique. Pendant son baccalauréat, Tayana a travaillé comme rédactrice en chef du journal de l’UBCO, The Phoenix, et a fondé le journal universitaire des étudiant.e.s, That’s What [We] Said, qui l’ont tous deux encouragée à poursuivre sa passion pour le militantisme.
Tayana a également voyagé en Palestine et est actuellement impliquée dans des activités de militantisme avec des organisations entourant une paix juste en Palestine. Elle est passionnée par la justice mondiale, en particulier pour les peuples autochtones, ainsi que par l’intersection politique de l’identité et de la politique. Après sa maîtrise, Tayana espère poursuivre ses études de droit en se spécialisant dans les droits de la personne, afin de pouvoir utiliser son expérience et sa formation pour améliorer la qualité de vie des personnes qui en ont besoin.
« Je suis incroyablement enthousiaste à l’idée de travailler avec L’apathie c’est plate! Être engagée dans la politique est quelque chose que je considère comme si important pour l’avenir de notre nation et de notre monde, et je crois que le travail que fait L’apathie c’est plate est essentiel pour changer les choses. Faire partie de cette organisation est une source d’inspiration et un rêve devenu réalité. »
Terry Wilkings
(Il)
Grâce à sa formation formelle et informelle d’organisateur de campagnes communautaires et politiques, Terry s’est fait les dents en organisant le public pour soutenir les démunis. Il possède une expérience professionnelle dans les secteurs privé et public, les organisations à but non lucratif et les syndicats. En adoptant une perspective historique sur la myriade de questions sociétales actuelles, Terry reste optimiste et pense que nous pouvons faire face au moment où davantage de personnes s’impliquent dans notre démocratie. Aucun problème n’est trop grand ou trop complexe. En tant que responsable du programme, il partagera son point de vue sur la promotion du changement positif tout en apprenant d’une nouvelle génération d’acteurs sociaux.
« Le programme BÂTIR vise à développer l’action politique des jeunes sous-employé.e.s de nos communautés. L’apathie c’est plate est bien placée pour atteindre cet objectif ambitieux grâce aux relations qu’elle a favorisées entre les ambassadeur.ice.s, les partenaires et les organisations communautaires. Je suis très heureux de contribuer au lancement d’un projet avec une équipe aussi formidable! »
Yasmine Izmeth
(Elle)
Yasmine est une Sri-Lankaise Malaise-Canadienne qui a grandi dans différents quartiers de la région du Grand Toronto. Sa curiosité, ses expériences de voyage et sa formation académique l’ont amenée à poursuivre un diplôme en développement international à l’Université McGill. Elle a plongé directement dans les projets communautaires et l’action militante où elle a appris les différents langages de la collaboration communautaire et les capacités des jeunes à changer le fonctionnement des systèmes inefficaces. Yasmine s’intéresse à la lutte contre la violence sexuelle, à l’autonomisation des femmes et à l’intégration des nouveaux.elles arrivant.e.s.
Son amour du design, de la créativité et de la réflexion globale l’amènent à s’adonner à l’art du maquillage, au mannequinat et à l’engagement communautaire à Montréal et à Toronto.
« Les programmes et plateformes de L’apathie c’est plate prouvent que l’engagement communautaire peut être accessible, mené par les jeunes et axé sur les personnes noir.e.s, autochtones ou de couleur. Je suis heureuse de faire partie d’une équipe qui met en pratique ce qu’elle prêche. »
Notre Conseil d'administration
Abeer Yusuf
Abeer Yusuf (elle) est journaliste, écrivaine et bâtisseuse communautaire. Elle vit actuellement sur les territoires salish du littoral non cédés des nations xʷməθkʷəy̓əm (Musqueam), Skwxwú7mesh (Squamish) et səl̓ilwətaɁɬ (Tsleil-Waututh). Abeer a émigré au Canada il y a sept ans pour poursuivre sa deuxième maîtrise en journalisme à l’UBC, et son travail consiste à examiner l’identité et l’appartenance, l’intersection de la race et de la culture, et à apprendre comment nous appartenons (ou n’appartenons pas) à des lieux et des espaces.
Elle s’intéresse à vivre différents modèles de décolonisation et à apprendre de ceux-ci, ainsi qu’à la création de liens authentiques et de communautés, à la lecture et à l’amitié. Vivant entre Vancouver et l’Internet, Abeer est terrifiée à l’idée d’écrire des biographies. Elle adore raconter et écouter des histoires, battre les estimations de durée de marche de Google Maps, parler d’heureux hasard et manger du poulet biryani. Elle déteste aussi passionnément les feuilles de calcul Excel.
Aiden Cyr
Aiden est titulaire d’un baccalauréat ès arts de l’Université Concordia en études en affaires publiques et communautaires et analyse des politiques, avec une seconde spécialisation en science politique. Leader communautaire et activiste, il a voyagé partout au Canada et à travers le monde pour parler de différents enjeux, dont les droits autochtones, les changements climatiques et la violence sexiste. Il a été bénéficiaire honoraire de la bourse de l’ambassade américaine pour une expédition de deux semaines dans en Arctique, sur le territoire du Canada et du Groenland, où il a tissé des liens bilatéraux importants avec d’autres jeunes cherchant à lutter concrètement contre le changement climatique.
Aiden a été animateur dans le cadre d’un sommet sur la santé mentale des jeunes autochtones, où il a sensibilisé les participants aux obstacles au bien-être que sont l’écoanxiété et le changement climatique. Il a poursuivi son plaidoyer pour le climat en tant que membre de la Climate Action Cohort, avec qui il a voyagé pour assister à la Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP25) présentée en Espagne. Plus récemment, il a reçu une bourse de l’Initiative d’innovation autochtone de Grands Défis Canada. Aiden croit à la sagesse et au pouvoir transformateur de la communauté et est motivé à aider à surmonter les obstacles freinant l’engagement politique concret.
Alexis-Carlota Cochrane
Alexis est une enseignante, une activiste et une stratège en communication passionnée qui se consacre activement à bâtir de collectivités, à mobiliser les connaissances et à déconstruire les systèmes oppressifs. Elle est douée pour les communications numériques, les stratégies d’accessibilité, l’engagement des jeunes et la justice sociale. En tant que Canadienne d’origine péruvienne, elle baigne fortement dans l’activisme de la communauté latino-américaine, de même que dans la cause de la santé mentale et des droits LGBTQ2S+.
Alexis est actuellement doctorante en communication, nouveaux médias et études culturelles à l’Université McMaster de Hamilton, en Ontario. Elle occupe aussi le poste de gestionnaire de programme pour UofMosaic, un programme de bourses de recherche de niveau universitaire et collégial de la Mosaic Institute qui offrent des occasions de croissance personnelle et professionnelle aux jeunes artisan.e.s de changement et qui les aide à collaborer dans le cadre de projets jeunesses visant à briser les préjugés sur les campus de partout au Canada. Elle travaille et étudie en ce moment sur les terres ancestrales des Haudenosaunee, des Anishinaabe (y compris les Mississaugas de Credit) et des Hurons-Wendats.
Brooks Roche
Brooks, qui vit depuis plus de vingt ans avec le diabète de type 1, milite pour des systèmes de santé et de services sociaux inclusifs. Il est membre du Conseil jeunesse du premier ministre et travaille actuellement pour Diabète Canada en tant que gestionnaire de la connaissance et de la liaison avec les patients afin de développer des compétences, la sensibilisation et une communauté pour les personnes touchées par une maladie chronique. À la tête d’un vaste éventail de campagnes d’information, de collecte de fonds et de sensibilisation, Brooks a aidé à accroître l’aide des gouvernements fédéral et provincial de plusieurs millions de dollars, à établir une loi concernant la stratégie nationale sur le diabète, et à faire pression pour la bonification de l’aide financière accordée aux canadien.ne.s vivant avec des handicaps. Son approche en ce qui concerne les changements de système, axée sur les solutions et l’humain, se concentre sur l’amélioration de la qualité de vie, notamment grâce à des interventions visant à donner accès à des logements réellement abordables, à des technologies de médecine préventive et, bien sûr, des possibilités d’implication démocratique percutantes et innovatrices.
Brooks est titulaire d’une maîtrise en administration des affaires de l’Université de l’Île-du-Prince-Édouard et d’un baccalauréat en études de design de l’environnement de l’Université Dalhousie. Il vit, travaille et profite de la vie sur Epekwitk (l’île du Prince-Édouard), sur les terres non cédées des Mi’kmaq.
Almeera Khalid
Almeera se spécialise dans la défense de causes, l’engagement et la politique. Elle a œuvré à l’international pour l’avancement de la politique de genre lors du G20. Elle a en outre été conseillère au sujet de l’engagement des jeunes auprès du conseil de la section canadienne d’Amnistie internationale, en plus de travailler à cerner de nouvelles façons de susciter la participation des jeunes aux campagnes, à l’activisme et aux communications. Elle enseigne aussi la gouvernance et la défense de causes aux jeunes. Almeera s’intéresse aux domaines du genre, de la technologie et de la politique, recherchant leur intersection en tant qu’étudiante diplômée à l’Université d’Oxford. Elle espère que son poste de membre du conseil d’administration lui permettra de mettre à profit son expérience afin d’aider les jeunes à faire leur entrée et à s’épanouir dans les milieux du pouvoir.
Danny Luong
Danny est actuellement analyste, Fusions et acquisitions, dans le domaine des infrastructures chez Deloitte. Auparavant, il était auditeur dans le secteur des grandes entreprises chez Raymond Chabot Grant Thornton.
Originaire de Montréal où il a grandi avec ses parents vietnamiens, Danny a commencé à jouer au badminton dès son plus jeune âge. Cela l’a conduit à l’équipe de badminton des Carabins de l’Université de Montréal. Il y a obtenu un baccalauréat en administration des affaires avec une spécialisation en comptabilité et un diplôme d’études supérieures en comptabilité publique à HEC Montréal.
Danny est très curieux de l’espace politique canadien et espère apporter cette curiosité aux autres jeunes Canadien.ne.s. Il est également le trésorier du conseil d’administration de My Mental Health Matters, une organisation à but non lucratif visant à sensibiliser les jeunes minorités à la santé mentale.
Dave Meslin
Dave est directeur de la création pour Unlock Democracy Canada. Perturbateur politique transpartisan et passionné, il a consacré les 20 dernières années à la biologie politique en explorant le monde étrange et mystérieux des mouvements de protestation, des politiques de parti et des organisations sans but lucratif. Sa conférence TED au sujet de l’apathie cumule plus de 1,9 million de visionnements et sa vidéo de 90 secondes filmée dans le cadre de la couverture des élections canadiennes de 2015, dans laquelle il utilise des piles de blocs Lego colorés pour expliquer comment notre mode de scrutin est défaillant, a été visionnée plus de 2,5 millions de fois uniquement sur Facebook.
Son livre à succès, Teardown : Rebuilding Democracy from the Ground Up, est une feuille de route pour réaliser un changement et un remède au cynisme. Sa thèse est simple : nous sommes plus forts et plus intelligents lorsque nous nous impliquons tous. En remplaçant le cynisme par une culture participative, nous pouvons réinventer notre rôle dans le monde et les possibilités pour l’avenir.
Elana Ludman
Elana Ludman est vice-présidente, Santé mentale des jeunes, à la Fondation Graham-Boeckh, une fondation privée nationale qui vise à apporter des changements transformationnels pour améliorer la vie des personnes atteintes de maladie mentale ou risquant d’en être atteintes. Dans son rôle, elle travaille avec divers intervenant.e.s, notamment des décideur.euse.s, des expert.e.s en santé mentale, des fondations philanthropiques, des fournisseurs de services, ainsi que des jeunes et leurs familles, pour soutenir les services intégrés pour les jeunes dans tout le Canada. Avant cela, Elana a travaillé à la Fondation McConnell où elle était conseillère en innovation sociale et a travaillé en étroite collaboration avec le président pour développer des partenariats multipartites et faire avancer les priorités organisationnelles en matière de santé mentale des enfants et des jeunes, de développement de la petite enfance et de réconciliation des autochtones.
Avant de travailler dans la philanthropie, Elana était conseillère de programme au ministère canadien de l’Emploi et Développement social, où elle conseillait le portefeuille des enfants et des familles et soutenait les organisations à but non lucratif à travers le pays dans l’expansion de leurs innovations sociales. Elana a également travaillé dans le secteur communautaire, avec Habitat for Humanity Argentina en tant que coordinatrice sur le terrain, et avec le Santropol Roulant, un organisme de sécurité alimentaire dirigé par des jeunes à Montréal, où elle a occupé le poste de directrice du développement et des communications pendant cinq ans. Pendant son temps libre, Elana aime faire du ski, passer du temps en plein air avec sa famille et ses amis, faire du vélo, cuisiner et voyager. Elana est titulaire d’un baccalauréat en commerce de l’Université McGill et d’une maîtrise en politique sociale et développement de la London School of Economics.
Habon Ali
Habon est une bâtisseuse de communautés somalo-canadienne qui participe à des initiatives telles que le Conseil des jeunes du premier ministre, le Réseau d’action pour la santé des jeunes de la santé publique de Toronto et le Mosaic Institute.
Elle se passionne pour l’élimination des barrières systémiques pour les jeunes, en particulier les jeunes issu.e.s de communautés marginalisées et vulnérables. Actuellement, Habon est stagiaire au MaRS Discovery District où elle travaille à la suppression des obstacles à l’emploi des jeunes qui ne sont ni en emploi, ni aux études, ni en formation. Auparavant, elle a participé activement à la création de la première politique jeunesse pour le Canada, au développement du Service jeunesse Canada et à l’Amplify Lab de L’apathie c’est plate.
Habon Ali est une étudiante à la maîtrise en santé mondiale à l’Université McMaster. Elle vient de terminer son baccalauréat à l’Université de Toronto en biologie et en sciences de l’environnement. Elle est passionnée par la création d’espaces et d’occasions pour l’engagement significatif et la participation des jeunes, ainsi que le changement dans notre démocratie. Habon est convaincue qu’une démocratie forte est une démocratie où tous les citoyen.ne.s peuvent participer.
Maha Fakih
Maha est actuellement analyste en placements à la Fondation McConnell, où elle travaille avec la direction pour gérer le portefeuille de la fondation dans le but de le faire passer à des placements entièrement responsables. Elle est actuellement au titre d’analyste financière agréée.
Née Beyrouth, au Liban, où elle a grandi, elle a déménagé aux Émirats arabes unis pour suivre des cours en finance à l’Université d’Abu Dhabi. En 2012, Maha a déménagé à Montréal, au Canada, pour poursuivre ses études de baccalauréat en commerce spécialisé en finances à l’École de gestion John Molson de l’Université Concordia.
En plus de travailler à la Fondation, elle est également membre des Lebanese International Finance Executives (LIFE), de CFA Montréal et de l’organisme Helem qui se concentre sur la sensibilisation et la lutte contre l’homophobie dans la communauté arabophone de Montréal.
Noelle Sorbara
Noelle Sorbara travaille dans des organismes au service des jeunes depuis de nombreuses années. Elle est la cofondatrice du Festival international de musique Pop Montréal, dont elle a été productrice exécutive de 2002 à 2007. Elle a également été la présidente du conseil d’administration de Pop Montréal de 2005 à 2012. Elle a obtenu son diplôme de droit à l’Université McGill en 2010 et travaille actuellement à temps partiel comme consultante pour des organisations artistiques et à but non lucratif tout en élevant ses trois jeunes enfants. Sa relation avec L’apathie c’est plate a débuté en 2005 alors qu’elle travaillait à Pop Montréal, mais a été renouvelée en 2015 en tant que conseillère et collectrice de fonds pour la campagne pour faire voter les jeunes de l’organisation. Elle a travaillé comme consultante pour des organisations telles que Mile-End Legal Clinic, Junglekeepers, Canadaland, Plus One, et Loaded Pictures Productions.
Rosalie Nadeau
Rosalie est actuellement directrice de la recherche pour DataSciences, un cabinet d’experts-conseils de Montréal se spécialisant dans les campagnes politiques au Canada et à l’étranger. Elle est titulaire d’une maîtrise en science politique de l’Université McGill, où elle a effectué des recherches sur les différences intergénérationnelles en ce qui a trait au soutien à la démocratie. Elle a ensuite travaillé en tant qu’attachée politique pour l’un des principaux partis politiques provinciaux québécois, où elle occupait un poste dans un bureau de circonscription et facilitait les échanges entre les citoyen.ne.s et leurs élu.e.s. Elle s’est aussi impliquée sur le terrain lors des élections provinciales québécoises de 2018.
Rosalie adore les élections, les campagnes et les questions touchant la politique, et croit que sa génération se soucie plus de politique et en connait plus sur le sujet qu’elle ne le pense.
Sarah Houde
Sarah Houde a passé les débuts de sa carrière comme directrice des communications et des relations publiques dans les secteurs privé et à but non lucratif avant de devenir directrice générale de Youth Fusion, un organisme de bienfaisance pancanadien axé sur la formation et l’emploi des jeunes, dont la taille a doublé en trois ans sous sa direction. Elle s’est ensuite jointe à la société de capital-investissement XPND Capital en tant que vice-présidente des affaires publiques et gouvernementales, pilotant un certain nombre de projets d’électrification des transports. À l’automne 2017, elle a été nommée directrice générale du nouveau regroupement industriel du Québec pour les véhicules électriques et intelligents et a été chargée de positionner la province comme l’un des chefs de file mondiaux du secteur. Mme Houde est titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise en sciences politiques et d’un diplôme de gestion de deuxième cycle.
Terence D'Souza
Terence possède un grand sens communautaire et se passionne pour les moyens pour la jeunesse de s’impliquer concrètement dans la démocratie et de la transformer. Il travaille actuellement pour les relations publiques de Rideau Hall (BSGG), au service de la gouverneure générale du Canada, Mary Simon, où il apporte sa contribution aux relations avec les médias et à l’engagement avec le public du bureau. Il est de plus en voie d’obtention d’un diplôme de premier cycle en science politique et administration publique de l’Université d’Ottawa.
Ancien stagiaire en de L’apathie c’est plate, Terence a été inspiré par l’innovation démocratique. Il a travaillé sur des projets visant à donner du pouvoir aux jeunes leaders dans des domaines comme le développement communautaire, l’emploi et l’éducation au sein de diverses organisations, dont Taking IT Global, le Conseil canadien pour la réussite des jeunes et Together|Ensemble. Il est de plus cofondateur et directeur général de Young Ontarians United, un groupe de recherche pour les jeunes qui agit comme porte-voix pour les jeunes ontarien.ne.s.
Son travail n’a fait que renforcer sa solide conviction en l’importance cruciale de constituer une génération de jeunes électeur.rice.s informé.e.s et engagé.e.s.